Paramétrage "Haut de Gamme"

Lorsque l'on traite du haut de gamme, voilà en substance la définition de la langue française : "qui est réputé pour sa qualité" (Larousse).

Alors, une photo en "penthouse" (dernier étage), vue large sur l'horizon. Le Blog Monde Financier en "pause" cette semaine du fait de son agenda mais aussi de celui de l'agenda international, Financier et Boursier mondial compris...pour réfléchir son acception.

Les nouvelles ont peints voir "dépeints" un certain nombre de statuts et activités que le Blog se propose de traiter pour les mettre en perspectives. A défaut d'avoir voulu commenter sans prise de recul...Le repli réel de l'"information" au profit des intérêts stratégiques, plutôt inquiétants, et sur tous les plans, malheureusement. 

Sommaire :

1. L'impact international de la mort de Ben Laden ou la recherche américaine d'effets politiques électoralistes perdus. 

2. La tendance franco-française à tourner autour des polémiques...hors gouvernement. 

3. Les marchés boursiers nouveaux redresseurs de tort face à des situations économiques inextricables?

4. Réserve de la Finance Mondiale qui y préfère son expansion "Asiatique". 

Conclusions, que le Blog Monde Financier vous livrent içi, avec son postulat préféré qui rend votre fréquentation assidue de plus en plus régulière et remarquée :

"L'excellence est un art que l'on atteint que par un exercice constant". Aristote. 

Merci pour votre présence sur le Blog, l'exigence de l'excellence est notre propos. 

Le Blog Monde Financier a reçu pour brin de muguet des tendances plutôt alarmantes d'un contexte international perturbé.

Pas plus qu'à l'accoutumée de la part de la sphère financière, toujours active dans son orientation optimiste sur l'évolution d'un monde en mouvement, mais en terme de "franchissement de cap" sur les attitudes plutôt "bas de gamme" des responsables manageriaux de nombreux secteurs. 

La Finance toujours à même de proposer des réflexions fertiles en lien direct ou non avec l'économie sur le plan politique, voir l'interview de Jacques Attali cette semaine dans les Echos, concernant la fonction présidentielle à un an de l'agenda électoral, s'étonne pourtant de tant de mises en cause "équivoque" des intérêts défendus pour les sphères économiques diverses.

En effet, en tête de liste, comment ne pas évoquer le pas franchi dans l"ultra-communicabilité" de l'opération américaine pour rendre public la mort de Oussama Ben Laden, après dix ans de traque. 

L'impact international de la mort de Ben Laden ou la recherche américaine d'effets politiques électoralistes perdus

Bien loin de la considération "réactive" du Blog que de commenter cette nouvelle, somme toute envisagée pour des raisons internes de rapport à la lutte anti-terroriste américaine, à prendre comme telle sans jugement ultérieur de positionnement politique.

Pourtant, l'attitude du Président Obama ne révèle-t-elle pas une volonté d'affirmer médiatiquement le leadership américain dont nous parlions précédemment en vue de la candidature 2012? 

Evidemment, la réaction d'orgueil, fidèle aux attitudes "impérialisantes" américaines n'étonne plus.

Mais que dire du fait que censé lutter contre ces "terroristes", toujours en action depuis leur cachette selon Washington, un chef d'état assume une position "vengeresse" et appuyée quand à l'idéologie d'un pays "victime"?

Il est difficilement envisageable de considérer une opération "surprise" organisée en période pré-électorale en raison de la portée internationale et historique de cette arrestation. Le message délivré au monde, et pourtant rationnellement en recherche démocratique récente dans le monde arabe, est une nouvelle "guerre" idéologique réaffirmée.

Le positionnement de la part d'un président américain étonne quand à son statut de chef de la diplomatie, de surcroît élu Prix Nobel de la Paix il y a moins de cinq ans. Le progressisme de son élection faisait envisager une évolution à tous points de vue : international et symbolique, de l'engagement sur l'intérêt apporté à une population bien souvent ignorée, et charismatique quand aux attentes économiques et sociales attendues aux Etats-Unis. 

La question du Blog Monde Financier posée cette semaine ne recense pas la communication de ce débat mais bien la stratégie appliquée par les dirigeants internationaux d'utiliser des faits anciens et sans équivoque pour remettre au goût du jour une suspicion quand aux intervenants "arabes"  voir "terroristes" qui menaceraient le monde dans un choc de civilisation. 

Décevant en terme d'analyse des évolutions si vives et souhaitées par les populations des pays arabes chahutés par les chaos politiques récents. La fragilité de cette volonté de "dialogue démocratique" est à relever voir à mettre en cause à travers l'utilisation outrancière, pourtant bien reçue médiatiquement, de symbole tel que Ben Laden, terroriste international recherché.

Du spectacle, mais pas beaucoup de considération "modérée" qui dernièrement semblaient être envisagée au niveau international fusse en terme de considération économique. 

Le Blog regrette qu'une considération d'efficience supérieure de la stratégie du "choc", médiatique et idéologique, supplante la portée évolutive des forces émergentes et des démocraties naissantes dans les pays arabes.

De fait, en tant qu'observateur économique, il est à relever que dans la semaine du 02 au 08 mai 2011, le cours du baril de brut de pétrole a connu un chute historique. Avant de remonter ce jour, en séance à Singapour. Le Blog traitera plus loin de cette visée d'avancée "asiatique", qui tel le cours du baril, décide de contrer les évènements "sensationnels" qui n'envisagent en rien un positionnement "haut de gamme" de réponse aux inquiétudes d'affrontement des mondes.

L'attitude "leader" ne devrait-elle plus envisager les aspirations évolutives des politiques, qui demandent des projets et visions pour un monde en action? 

A vos avis...

La tendance franco-française à tourner autour des polémiques...hors gouvernement

Triste semaine managériale à la tête de la Fédération Française de Football et cette sordide affaires de "quotas" qui assombrit l'horizon des valeurs défendues par une équipe "black-blanc-beur" et l'avenir du sélectionneur actuel Laurent Blanc. 

Outre les premières impressions, de ne plus savoir à quelles valeurs se fier dans un contexte difficile au sein de la société française....c'est une nouvelle fois la place de leader qui est en cause. Comment imaginer que les intérêts, y compris en stratégie financière moyen voir long terme içi, rencontrent un projet, orchestrés par la plus haute instance du football?

Les considérations économiques défendues par le milieu footballistique, bien que parfois malmenées, rappellent toujours que l'essentiel est le résultat obtenu en terme de rayonnement. Et là, il serait mis à mal le rayonnement, y compris par des valeurs dissidentes prônées...et celles assumées, y compris par ses dirigeants.

Signe des temps? 

Pour le Blog, toujours décevant, qu'un "président" marque lui-même le désaveu du symbole éthique de sa position nationale. 

Les marchés boursiers nouveaux redresseurs de tort face à des situations économiques inextricables?

La situation de l'endettement européen est alarmante, en ce qui concerne notamment la dette grecque, qui va connaître, à n'en pas douter, une restructuration. 

La difficulté est évité par les marchés bousiers qui symboliquement exclu la grèce des marchés et devises européennes. 

Nouveau positionnement des "leaders" de leur secteur pour demander un effort prioritaire au protagoniste, içi la Grèce, sans avoir pour autant à assumer la charge...

S'il est pertinent de ne pas laisser croître l'enlisement économique en restructurant la dette, une nouvelle fois, le libéralisme appliqué n'est pas joint à une politique exemplaire de la part des leader en charge de l'application de cette position. 

Dommage. 

Réserve de la Finance Mondiale qui y préfère son expansion "Asiatique"

Pendant ce temps, une nette préférence, sur les marchés boursiers, par les intervenants et analystes, de prendre position sur les marchés émergents générateurs "d'avenir" et de délaisser quelque peu les intérêts stratégiques des autres forces en présence....qui ont bien du mal à suivre le rythme soutenu d'évolution asiatique. 

Le Blog entend, comprend, et se positionne même puisqu'il est de notre essence même de Financiers que de toujours envisager l'innovation et par là l'évolution du capitalisme, y compris dans une perspective positive. 

Les marchés émergents donnent des indices d'avenir, pour les sociétés, les marchés mais aussi pour les considérations hors "occident" en terme de force en présence...Pour autant, la semaine "asiatique" nous a semblé ignorer les inquiétudes internationales vu du Japon, des Etats-Unis et européennes, pour se concentrer sur la résultante quantitative pure. 

Le Blog Monde Financier est plutôt "plus optimiste" concernant ce type de comportement concentré, parce qu'essence du comportement capitaliste, y compris sur les marchés, mais relève que la tendance est au libéralisme, quelle que soit la "signature" des dirigeants en exercice. 

Semaine d'observation, critiques quand à une constante : le positionnement de leader qui incarne ses prises de position, une question qui a amené cette longue réflexion, et vous avoir incité dans ce dossier spécial à parfois mettre en lien que si le monde change, notre comportement se doit d'évoluer...

sans forcément se dégrader en terme de comportement, voir d'intégrité.