MODE JPG Trois repreneurs en lice

Publié le par mondefinancier

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Les trois candidats sont :

 


 . le groupe catalan Puig, qui contrôle Nina Ricci et Paco Rabanne.                       brand

 


 

 . la maison suisse Richemont.                                                                               richemont-logo.jpg

 

 


 . le chinois Fung Capital, bras financier de la famille Fung.                                     FungCapUSA.jpg

 


 

En fin de semaine, trois acquéreurs potentiels de la Maison Jean-Paul Gaultier ont approchés Hermès, toujours détenteur de 45% du Capital.

 

Jean-Paul Gaultier, créateur, ne souhaite vendre qu’une part marginale de ses 55% afin de rester dans le Capital après acquisitions.

 

Cette opération a pour vocation de financer le développement international, et notamment Asiatique, qui ne peut être assurée par la Maison Hermès désormais en recherche d’actionnariat successeur depuis Mai 2010.

 

En effet, le décès de Mr Jean-Louis Dumas principal actionnaire, a sonné le glas de la collaboration entre le créateur Jean-Paul Gaultier et la Maison Hermès concernant le prêt-à-porter féminin.

 

Aussi, les intéressés divergent en terme de stratégies.

 

Le Fung Capital, chinois bras financier de la famille de Hong-Kong préfèrerait une joint-venture avec la Maison Hermès, qui restetrait donc au Capital.

Il est à noter que le groupe est actuellement propriétaire de Cerrutti ainsi que du Chausseur  Robert Clergerie.

 

Le groupe catalan Puig, qui détient une part majoritaire au Capital de Nina Ricci et Paco Rabanne, souhaiterait un contrôle plus affirmé.

 

La maison Suisse Richemont quand à elle, envisagerait une reprise totale en tant qu’actionnaire à 45% sans intervention d’Hermès.

 

Les pourparlers sont en cours, et il est notable que dans une économie mondialisée que le positionnement d’un savoir-faire plus d’un nom engage des strategies financières d’expansion. La reprise devrait avoir lieu dans les prochains jours.

 

La part de négociations revenant au créateur est içi effective et il lui revient de se positioner en tant qu’actionnaire majoritaire outre détenteur de la pérennité de la marque.

 

D’un point de vue purement analytique, il semble de bonne augure que part d’actionnariat et  avenir d’une marque internationale se discute en omettant point d’envisager la “vision” pour cette même marque.

 

 

 

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